Hace unos días leí algo que me hizo reflexionar: en una de las cartas al director del periódico local, una lectora se quejaba de que las mascarillas nos impiden ver si la persona con la que hablamos está o no sonriendo. Entiendo la queja de esta lectora, pero no estoy de acuerdo con ella; pues aunque la mascarilla nos tape la boca, si miras a los ojos a la persona que tienes delante puedes saber si sonríe o no, si está triste, preocupada o feliz. Esto es una de las cosas que trato de expresar en mi obra, el retrato de una sociedad que vive instalada en la cultura de la inmediatez, de lo fácil, que apenas tiene tiempo para pararse y mirar lo que sucede a su alrededor y mucho menos para mirar a los ojos a quien tiene delante.
Il y a quelques jours, dans le quotidien locale, j´ai lu une lettre adressée au directeur. Une lectrice se plaignait que les masques ne lui permettaient pas de voir le sourire du personne. Je peux comprendre cette femme, mais je ne suis pas d´accord avec elle. Il est vrai que un masque couvre la bouche pourtant, tu peux toujours regarder la personne dans les yeux pour savoir si quelqu´un sourit ou pas, si quelqu’un est triste ou heureux, préoccupé ou calme. Habituellement je parle d´une société qui aime vivre vite, qui aime tout de suite, qui aime une vie facile, sans difficulté, une société qui n´a pas le temps pour s´arrêter et regarder et même pas pour regarder dans les yeux des gens..